[jeu/ecriture] Suite après suite.

Bordel
rien qu'en vous "disputant"debatant xD pour ça , vus me faites enormement plaisir
Donc, moi je dis rien !

j'espere que les autres pourront vos aider xD
et que le jeu commencera bien tot ^^

J'adore la 1 et la 4. *__*

Oui, la même que Lily, 1 et 4 pour moi...

Ouais j'crois bien >.<

bon eh bien cher loly
à toi l'honneur ^^

hop hop on atten que toi *-*

(Ora, je ne savais pas s'il fallait mettre ton début, donc bon .. xp. Par contre, je n'arrive pas à le faire au présent, autant pour moi, ça choque pas trop je trouve, donc on va dire que çava ^^' )

Je continuuue ? XD

_______________

Et maintenant elle était dans un drôle de pétrin. Qu’est ce qu’elle allait devenir, en pleine ville, dans cet accoutrement ? Elle se serait giflée, rien que pour son inconscience. Ses pieds étaient rougis par le froid, et ce n’était rien de le dire, elle était frigorifiée. Son souffle était saccadé, la froideur hivernale ne passait pas dans sa gorge. Ca lui faisait mal. Idiote idiote idiote ! Elle se mit à marcher. Sans vraiment avoir de but précis. Un abri dans lequel se réchauffer, peut-être. Mais où ? Des affaires plus chaudes seraient l’idéal. Mais elle n’était pas magicienne. Elle avait beau essayé de claquer des doigts, aucun génie n’apparaissait. Triste réalité. Elle marchait dans une rue, bordant les maisons. Curieuse. Elle espionnait les familles. Le père, la mère, les enfants. Ils étaient là, devant la cheminée, chantant Noël. Le sapin les surplombant. Ils avaient l’air heureux. Elle continua son chemin, s’arrêtant à chaque fenêtre, souriant quand elle voyait les enfants pressés d’ouvrir leurs cadeaux. Cette année, elle, elle n’en aurait pas. Inconsciente et idiote. Voila ce qu’elle était.



Elle ne savait pas ce qu'il lui avait pris, de partir comme ça. Presque sur un coup de tête. Presque. Elle se recroqueville, s'accroupit contre un mur. Se protégeant de la neige. De toute façon, impossible de faire marche arrière. Elle ne savait plus très bien où elle était, elle se perdait dans l'immensité blanche et déserte, frigorifiante, insoutenable. Elle avait pensé pouvoir s'échapper de ce monde de fous, et elle se retrouvait encore plus contrariée. Frustrée. Elle ne savait même pas quelle heure il était, mais la lune l'éclairait de son halo blanchâtre. Pleine lune. Elle s'essuye les yeux de ses mains grellotantes. Au loin, elle entend des chants joyeux. "Mon beau sapin". Elle pleure de plus belle. Des éclats de rire lui parviennent. Elle se sentait mal. Elle continuait inlassablement à se traiter d'idiote. Presque inconcsiemment, elle se relève, reprends sa marche silencieuse, ternie par les larmes. Elle se retourne pour aperçevoir ses traces dans la neige. Elle serre ses bras, fait quelques pas. Ses pieds, elle ne les sent plus. Elle se demande ce que les gens penseraient d'elle, si ils la voyaient. Silhouette pauvre et nue, traversant le manteau du froid, sans aucun but précis. Comme une feuille, arrachée à l'arbre par le vent, tourbillonant sur elle-même jusqu'à toucher le sol. Elle s'écroule. Suffoque. Elle s'apprête à rendre l'âme, lorsqu'une voix plus proche que les autres lui parvient.

Elle ne savait pas ce qu'il lui avait pris, de partir comme ça. Presque sur un coup de tête. Presque. Elle se recroqueville, s'accroupit contre un mur. Se protégeant de la neige. De toute façon, impossible de faire marche arrière. Elle ne savait plus très bien où elle était, elle se perdait dans l'immensité blanche et déserte, frigorifiante, insoutenable. Elle avait pensé pouvoir s'échapper de ce monde de fous, et elle se retrouvait encore plus contrariée. Frustrée. Elle ne savait même pas quelle heure il était, mais la lune l'éclairait de son halo blanchâtre. Pleine lune. Elle s'essuye les yeux de ses mains grellotantes. Au loin, elle entend des chants joyeux. "Mon beau sapin". Elle pleure de plus belle. Des éclats de rire lui parviennent. Elle se sentait mal. Elle continuait inlassablement à se traiter d'idiote. Presque inconcsiemment, elle se relève, reprends sa marche silencieuse, ternie par les larmes. Elle se retourne pour aperçevoir ses traces dans la neige. Elle serre ses bras, fait quelques pas. Ses pieds, elle ne les sent plus. Elle se demande ce que les gens penseraient d'elle, si ils la voyaient. Silhouette pauvre et nue, traversant le manteau du froid, sans aucun but précis. Comme une feuille, arrachée à l'arbre par le vent, tourbillonant sur elle-même jusqu'à toucher le sol. Elle s'écroule. Suffoque. Elle s'apprête à rendre l'âme, lorsqu'une voix plus proche que les autres lui parvient.


Elle était là, immobile sur le sol humide, sans bouger. Mais cette voix qui lui était inconnue se rapprochait, de plus en plus près, pour arriver enfin vers elle. Les yeux clos, elle n'osa les ouvrir, c'était trop lui demander, ses paupières étaient lourdes, elle avait mal. Mais elle l'entendait, lui. C'était un homme, un homme à la voix chaude et réconfortante. Il tentait de la faire parler, mais elle ne s'en sentait pas capable, ses forces l'avaient abandonnée. Quelle idiote, quelle idiote avait-elle été, voila que maintenant son était empirait. L'homme lui passa une main sur le visage. Toujours aucune réaction de la jeune fille. Alors il prit son portable et composa un numéro. Elle eut juste le temps de percevoir ses mots et de se sentir soulevée par cet inconnu qu'elle s'avanouit, morte de fatigue et de froid.

Elle était là, immobile sur le sol humide, sans bouger. Mais cette voix qui lui était inconnue se rapprochait, de plus en plus près, pour arriver enfin vers elle. Les yeux clos, elle n'osa les ouvrir, c'était trop lui demander, ses paupières étaient lourdes, elle avait mal. Mais elle l'entendait, lui. C'était un homme, un homme à la voix chaude et réconfortante. Il tentait de la faire parler, mais elle ne s'en sentait pas capable, ses forces l'avaient abandonnée. Quelle idiote, quelle idiote avait-elle été, voila que maintenant son était empirait. L'homme lui passa une main sur le visage. Toujours aucune réaction de la jeune fille. Alors il prit son portable et composa un numéro. Elle eut juste le temps de percevoir ses mots et de se sentir soulevée par cet inconnu qu'elle s'avanouit, morte de fatigue et de froid.



La jeune fille n'avait compris aucun des mots prononcés. C'est vrai, elle était " en pays étranger" comme avait dit son père. " Chérie, viens, on va passer Noël en pays étranger". C'est ça oui, un pays froid, où la douleur avait repris, où ses larmes avaient tellement envie de couler. Elle se sentait finalement trahi par l'homme qui l'avais élevé, par l'homme qui depuis sa naissance l'avait aimé. Elle ressentit le froid, cette fois-ci intérieur, elle soufrait, bordel elle soufrait, on ne pouvait pas savoir à quel point! Il l'ait emmené dans un guetapan, et elle, elle s'était jeté dans la gueule du loup en riant tout le long du chemin. Il l'avait ramené à sa mère. Il avait osé l'ammené à celle qui l'avait renié et formé une autre famille, ailleurs loin. L'accueillant pour le réveillon. Qu'est-ce qu'il avait pensé ! Qu'elle se jetterait dans ses bras en craint "maman !" ?! après 16 ans ! . Il avait rêvé , elle s'était enfui, idiote encore une fois, se retrouvant , frigorifiée, gelée, presque éteinte dans les bras d'un inconnu dont elle ne comprenait presque aucune parole. Peu être était-ce une autre langue, ou simplement, n'avait-elle pas envie d'entendre quelques chose qui la ramenerait .



Hs : bordel les filles !
ça me fait super plaisir que vous vous interessiez comme ça ! *-*
je sauvegarde chacune des suite sur un document word !
ainsi , un jour , on pourrat peu être la ressortir ous forme de plus gros chapitre dans la partie fan fiic ^^
voila voila
marcchii encor !

Un charabia. Elle ne comprenait rien à ce qu’on lui disait. Et pourtant on lui parlait bel et bien. Elle cligna des yeux, les ouvrit fébrilement. Une chaleur l’envahit. Une douleur lancinante, aussi. Ses pieds étaient bandés, abîmés par leur trop longue marche dans le froid. Elle était allongée sur un divan. Dans une chambre qu’elle n’avait jamais vu. Et on lui parlait toujours. Un vieil homme était en face d’elle, il l’examinait, prenait sa respiration, lui faisait ouvrir la bouche, plaçait son doigt devant les yeux de la jeune fille. Cette dernière agissait à l’instinct. L’homme s’éloigna et laissa entrer une femme, une tasse de thé brûlante entre les mains. Un autre homme était là, aussi. Peut-être un peu plus vieux qu’elle. Il était assez étrange, et elle avait un pressentiment. Ce jeune, elle l’avait déjà vu, elle en était sûre. La femme la fit boire, mais la jeune fille ne détournait pas les yeux du brun. Elle le détaillait. Il était grand, svelte. Peut-être un peu trop mince. Il l’intriguait, voila tout. Elle bredouilla, mais devant la mine déconfite de la femme en face d’elle, elle se tut. Elles ne parlaient pas la même langue. Elles ne se comprenaient pas.


Un sentiment étrange s'empara d'elle. La peur. Elle était perdue, elle ne savait pas chez qui elle était. Et ces inconnus la terrifiaient. Pourtant, la femme n'avait pas l'air méchante, non loin de là. Mais cet homme, juste derrière, il ne laissait rien paraitre sur son visage. Aussi quand la femme lui tendit le reste de thé, elle ne put refuser de l'avaler. Mais son regard était attiré vers lui. Il l'hypnotisait. Elle ne pouvait détacher ses yeux de cet homme. Il l'intriguait. Elle était persuadée de le connaitre. Peut-être l'avait-elle déja croisé ? Mais impossible de se souvenir où et quand. De plus, elle ne savait pas pourquoi elle avait atteri dans cette maison chez des gens qui ne parlaient pas la même langue. Elle se rappellait juste de sa fuite, de son mal-être et d'une personne venant à son aide. Puis, le trou noir, tout ce qu'il s'était passé après, elle n'en avait aucune idée. Alros peut-être cet homme était-il celui qui l'avait aidé ? Elle rendit la tasse vide à la femme qui quitta la pièce. La voilà maintenant seule avec cet homme inconnu.

Un sentiment étrange s'empara d'elle. La peur. Elle était perdue, elle ne savait pas chez qui elle était. Et ces inconnus la terrifiaient. Pourtant, la femme n'avait pas l'air méchante, non loin de là. Mais cet homme, juste derrière, il ne laissait rien paraitre sur son visage. Aussi quand la femme lui tendit le reste de thé, elle ne put refuser de l'avaler. Mais son regard était attiré vers lui. Il l'hypnotisait. Elle ne pouvait détacher ses yeux de cet homme. Il l'intriguait. Elle était persuadée de le connaitre. Peut-être l'avait-elle déja croisé ? Mais impossible de se souvenir où et quand. De plus, elle ne savait pas pourquoi elle avait atteri dans cette maison chez des gens qui ne parlaient pas la même langue. Elle se rappellait juste de sa fuite, de son mal-être et d'une personne venant à son aide. Puis, le trou noir, tout ce qu'il s'était passé après, elle n'en avait aucune idée. Alros peut-être cet homme était-il celui qui l'avait aidé ? Elle rendit la tasse vide à la femme qui quitta la pièce. La voilà maintenant seule avec cet homme inconnu.



Alors qu'elle repnsait à ce qui l'vait ammené jusqu'ici, il s'était levé, prenant un hauteur impressionante. Quelques peu impressionée par l'hauteur de l'ombre qui se dessinait à ses pieds, la jeune fille releva le nez pour apercevoir la véritable etendue de la personne. Elle trempa ses yeux dans ceux du jeune homme. Le coeur de celui-ci se serrat, se stopant sur un battement, il régnait tellement de peine dans le regard de la jeune fille. Elle semblait brisée, abandonnée peu être. Iln'arrivait pas à soutenir ce regard qui lu en demandait tant, elle lui demandait secretement de l'aide, oui de l'aide, mais pourquoi? Il ne pouvait absolument rien en savoir, comment aurat-il fait. Il était clairque, même s'il n'avait pas encore essayaer de communiquer avec elle, elle ne comprenait pas un traitre mots de leur langue, et lui de la sienne.

Il ouvrit la bouche. Il essayait de se faire comprendre, mais la jeune fille grimaça. Elle ne comprenait rien. Elle bredouilla quelque chose qui ne fit qu’imposer le sentiment d’incompréhension qui régnait dans la pièce. Voila quelques heures, il allait retrouver des amis pour fêter Noël, et au loin, il avait aperçu une silhouette. Déboussolante. Il avait froncé les sourcils. Se rapprochant, il avait vu la jeune fille s’écraser par terre. Sans se relever. Alors il avait couru auprès d’elle. On ne laissait pas quelqu’un allongé dans la rue, surtout en cette soirée si symbolique. Elle n’avait pas de chaussures, elle était frigorifiée, prenant une teinte bleutée. Il avait essayé de lui parler, sans succès, elle ne réagissait pas. Son visage si froid lui avait donné des frissons dans le dos. Il l’avait prit dans les bras et l’avait ramené chez lui. Là, sa mère avait appelé un médecin, d’abord paniquée. Heureusement que celui-ci était un bon ami de la famille, sinon elle aurait finit à l’hôpital. Et le voila maintenant devant celle qu’il avait ramassé dans la rue. Dans une profonde impasse. Comment se faire comprendre ? Il avait quelques notions d’Anglais. Peut-être qu’elle aussi ? Il se risqua à prononcer quelques mots dans la langue de Shakespeare.



Une larme, une seule coula le long de la joue de la jeune fille. Opressée par cette solitude qui la tenait, elle était perdu dans une ville, inconnu, qu'elle avait même peu être quitté en etant amené ici. Lorsqu'elle entendit un mot en anglais, elle releva brusquement la tête vers leur provenance, un autre larme coulant le long de son nez.
- Sorry ! sorry , I don't want to you cry. s'empressa-t-il d'ajouter face à la réaction de la jeune fille.
Cette denière se leva à son tour, grimaçant à la douleur que lui procurait ses pieds, arrivant au niveau des yeux du garçon. Elle leva un peu la tête, et begaya, la voix enrouée, elle avait surement pris froid dans la neige.
- I'm ....I'm french. I don't speak deutch. Hel......Hel.....Help me please.
Il equarquilla de grands yeux bruns et se raprocha d'elle, la calmant en la tenant par les épaule, puis la faisant se rassoir en voyant les bandages de ses pieds devenir rouge sang.
- OKay, okay? What's your name ? engagea-t-il en percevant son affolement, elle semblait encore plus perdue maintenant.
Idiote et pitoyale, comme elle le pensait.

Oh
mais borel recevoir ce compliment ça me fait trop plaisir
mais ton idée daborder l'anglais etait géniale !
franchement !
par contre je vous laise choisir les noms car tout ce auquel j'ai pensé
fin bref
je vous laisse decider aussi qui est le garçon xD

Bordel moi aussi j'veux que ça contiinue
mais si on le fait, on va se faire la fiic a deux xD

les gens grouillez vous xD !

Les gens sont pas préssé apparement

Enfait ce jeu va me stresser xD
ça va etre une catastrophe en cour xD
pas grave
j'trouve qu'elle va bien
on sent bin les changement de style
et pourtant ils s'accordent !
ça passe bien

OUais le gen ! un truc original stp ^^ !

allez hop hop hop on ecrit xD